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Adibs1 - Page 34

  • Une éponge de mer contre les bactéries résistantes aux antibiotiques

    j'adore déniché ce genre de news;) pour ceux qui veulent les références...bonne chasse :)

    Peter Moeller, chercheur au Laboratoire Hollings Marine de Charleston, a mis en évidence la capacité d'un composé tiré d'une éponge de mer à rendre sensibles aux antibiotiques des bactéries devenues résistantes.

    Agelas conifera, éponge des récifs coralliens de la mer des Caraïbes, a la particularité de vivre dans un environnement corallien très menacé et d'y survivre. C'est son secret de survie qui a intéressé Peter Moeller dans l'optique de nouveaux traitements antibactériens.L'ageliferine, molécule contenue dans l'éponge, a été testée en laboratoire. Ses fragments ont permis de rendre à nouveau sensible aux antibiotiques des bactéries très résistantes, comme celles responsables des otites, de la coqueluche, mais aussi le staphylocoque doré. Les fragments d'ageliferine dissolvent non seulement les biofilms de bactéries résistantes mais en empêchent également la réapparition. Ce traitement serait efficace à long terme : des bactéries traitées pendant trois mois en continu seraient en effet restées sensibles aux antibiotiques. Cette absence d'adaptation de la bactérie, qui devrait normalement essayer de lutter contre cette substance comme elle essaie de lutter contre les antibiotiques, vient du fait que l'ageliferine n'est pas considérée comme toxique par la bactérie, et que celle-ci n'y oppose donc pas de résistance.L'équipe de Peter Moeller travaille actuellement avec des compagnies médicales au développement de médicaments incluant de l'ageliferine. Leur souhait est de pouvoir inclure la molécule aux antibiotiques, mais les premiers essais cliniques ne sont pas pour demain : les chercheurs doivent en effet d'abord découvrir comment fonctionnent les composants de l'ageliferine.

    source: maxiscience

  • A 14h44, un astéroïde a effleuré la Terre

    haya salleknaha ;)

    on l'a echappé belle les amis, on pourra bloguer et ajouter des amis sur facebook encore;)

    La fin du monde attendra encore un peu!

    "2009 DD45", un asteroide de 40 mètres de diamètre vient de nous effleurer, annonce Il Corriere della Sera passant à 72.000 kilomètres de la terre, ce qui ne serait qu'environ le double de la distance à laquelle se tient généralement un satellite en orbite! Et... il aurait les mêmes dimensions que l'asteroide tombé en 1908 à Tungunska (Sibérie) qui, lui, déclencha à sa chute une explosion comparable à "1.000 Hiroshima"...

    Convaincus (et rassurés) depuis peu qu'il ne nous toucherait pas, les passionnés ont pu s'en donner à coeur joie. On pouvait à priori l'observer facilement dans le Pacifique, où, plus précisement près de Tahiti fut enregistrée la distance la plus courte entre lui-même et notre Terre.

    Le Corriere della Sera rappelle aussi que le record serait toujours détenu par "2004 FU162", qui passa, le 31 mars 2004, à "à peine 6500 kms de la terre: un vrai miracle qu'il ne nous soit pas tombé dessus".

     

  • Que reste-t-il de nos artistes soixante-huitards ?

    Suite au décès de notre ami l’artiste plasticien Sahli Abderrazak et avec  Raouf Gara, nous avons essayé de lister les artistes plasticien tunisiens qui nous ont quitté en pleine création et qui ont laissé notre tunisie orpheline de leurs arts.

    Ennoubli – artiste peintre

    Amara Debbech – Artiste peintre

    Ali Cordella – Sculpteur

    Moncef Ben Amor – Artiste peintre

    Ridha Bettaïeb – Artiste Peintre

    Hédi Selmi – sculpteur

    Ali Khoudja – Artiste Peintre

    Mostari Chakroun – Artiste peintre

    Habib Blel – Artiste peintre

    Dahhak – Graveur

    Habib Bouabana – Artiste peintre

    Ghorbel – Artiste Tapissier

    Habib Chbil – Artiste peintre

    Chtioui – Artiste peintre

    Nejib Belkhoudja – Artiste peintre

    Ali Trabelsi – Artiste tapissier

    Sahli Abderazak – Artiste peintre

     

    Paix à leurs âmes…

     

     

  • 2 eme festival du Cinéma Tunisien à Paris

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    Nos jeunes tunisiens s'activent en France et présentent le deuxieme festival du film tunisien à Paris

    Les 13, 14 et 15 mars à l'avènement du printemps, nous vous donnons rendez vous vers un ailleurs, au cinéma l'Archipel où foisonnent la vie, les langues et les couleurs ; le temps d'une bobine le voyage continuera à Tunis cette fois-ci au quartier Essaïda où le regard ébloui de Hichem Rostom tente de glaner l'inspiration.

    Cette deuxième édition fera la part belle aux premiers pas, Moncef Dhouib nous fait pénétrer dans l’intimité érotique d’une oukala*, une mosaïque d’existences, folle et bigarrée. Les documentaires et les courts métrages feront quant à eux la passerelle entre Tunis et Paris.

    Pérégrinations diurnes et nocturnes à travers la lumière des mots, ceux d'ici nous content leur exil et cette inéluctable déchirure, notre émotion y caressera son reflet...Ceux de là-bas nous invitent à ne pas oublier "Le silence" qui voile certains thèmes tabous comme la maladie du sida.

    Ainsi plus que jamais c'est l'extraordinaire énergie des faiseurs d'images et de rêves que nous célébrerons.

    Pendant trois jours un riche panorama d'une Tunisie densément culturelle vous sera proposé, car en plus des films, la musique, la poésie et la littérature seront honorées.

    Bon festival à tous !

     

    Le site du festival: http://festivaldufilmtunisien.com/

  • "L'HÔPITAL RAZI ET SON HISTOIRE"

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    Vient de paraître dans les éditons du centre des publications universitaires, le Livre du Professeur Haffani Fakhreddine et de Docteur Zied Mhirsi(notre ami et blogeur). Les auteurs retracent avec brio l'histoire de l'hôpital Razi et à travers elle celle de la psychiatrie Tunisienne récente. On y apprend notamment beaucoup sur la condition des malades mentaux en Tunisie au début du XXème siècle, sur le fonctionnement de Dar Tekia (l'asile originaire) et sur l'attitude générale de la société par rapport à la maladie mentale (entre les tenants de l'explication mystique et les rationnalistes)On apprend aussi avec un luxe de détails témoignant de la minutie des recherches entreprises toutes les péripéties qui ont jalonnées la création de cet hôpital et les difficultés qui ont accompagné sa construction. La mentalité coloniale de l'époque est fidèlement reproduite et on comprend mieux comment cette société fonctionnait autour de trois axes sociaux vivant côte à côte sans vraiment se mélanger : musulmans, Français et Israélites. Nous suivrons fidèlement avec les auteurs la progression des mentalités vis à vis de la maladie mentale et la mutation de l'hôpital d'une simple institution asilaire en un véritable centre de soins. L'histoire récente de Razi est aussi, bien reproduite et beaucoup d'entre nous qui ont connu cet hôpital en tant qu'externes, internes ou résidents retrouveront bien des souvenirs. Enfin le livre est argumenté par de nombreuses photos, et loin du pavé savant, il se laisse lire comme un roman passionné et passionnant. Pour ceux qui souhaitent l'acheter, sachez qu'il coûte 12 dinars et qu'il est disponible au Centre des publications universitaires et à l'hôpital Razi