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étude scientifique

  • Une éponge de mer contre les bactéries résistantes aux antibiotiques

    j'adore déniché ce genre de news;) pour ceux qui veulent les références...bonne chasse :)

    Peter Moeller, chercheur au Laboratoire Hollings Marine de Charleston, a mis en évidence la capacité d'un composé tiré d'une éponge de mer à rendre sensibles aux antibiotiques des bactéries devenues résistantes.

    Agelas conifera, éponge des récifs coralliens de la mer des Caraïbes, a la particularité de vivre dans un environnement corallien très menacé et d'y survivre. C'est son secret de survie qui a intéressé Peter Moeller dans l'optique de nouveaux traitements antibactériens.L'ageliferine, molécule contenue dans l'éponge, a été testée en laboratoire. Ses fragments ont permis de rendre à nouveau sensible aux antibiotiques des bactéries très résistantes, comme celles responsables des otites, de la coqueluche, mais aussi le staphylocoque doré. Les fragments d'ageliferine dissolvent non seulement les biofilms de bactéries résistantes mais en empêchent également la réapparition. Ce traitement serait efficace à long terme : des bactéries traitées pendant trois mois en continu seraient en effet restées sensibles aux antibiotiques. Cette absence d'adaptation de la bactérie, qui devrait normalement essayer de lutter contre cette substance comme elle essaie de lutter contre les antibiotiques, vient du fait que l'ageliferine n'est pas considérée comme toxique par la bactérie, et que celle-ci n'y oppose donc pas de résistance.L'équipe de Peter Moeller travaille actuellement avec des compagnies médicales au développement de médicaments incluant de l'ageliferine. Leur souhait est de pouvoir inclure la molécule aux antibiotiques, mais les premiers essais cliniques ne sont pas pour demain : les chercheurs doivent en effet d'abord découvrir comment fonctionnent les composants de l'ageliferine.

    source: maxiscience

  • Découverte des plus anciennes preuves de vie animale sur Terre

    Les indices de vie animale les plus anciens jamais obtenus jusqu'à aujourd'hui ont été trouvés grâce à l'analyse de résidus chimiques contenus dans des roches datant de 635 millions d'années à Oman, ont annoncé mercredi des scientifiques.

    Les recherches ont également démontré l'existence de formes de vie simples à l'origine de l'évolution telles que les avait décrites le naturaliste anglais Charles Darwin, ont ajouté les auteurs de l'étude publiée dans la revue Nature.

    Les scientifiques ont analysé des molécules contenues dans les roches et découvert une forme modifiée de cholestérol produite uniquement par les éponges.

    "Il y a une profusion de preuves selon lesquelles ces éponges ont été les premiers organismes multicellulaires vivants", a expliqué Roger Summons, géobiologiste au Massachusetts Institute of Technology, qui a participé à l'étude.

    Les résultats suggèrent que ces créatures ont existé avant l'âge de glace, situé il y a environ 630 millions d'années.

    Or, a précisé Summons, de nombreux scientifiques considèrent que la période glaciaire a favorisé le développement des formes de vie complexe.

    Les formes de vie simples comme celles retrouvées dans les roches d'Oman sont nées environ 200 millions d'années avant que des plantes terrestres - par opposition aux plantes aquatiques - n'apparaissent sur Terre, a-t-il ajouté.

    Selon Summons, l'étude montre en outre la pertinence de la recherche moléculaire dans la compréhension de l'évolution, puisque les formes de vie fossiles les plus anciennes retrouvées jusqu'à présent remontent seulement à 580 millions d'années.

    source : reuter

  • Le bonheur serait contagieux!

    personnellement j'en doute pas! j'ai toujours eu la certitude que nous sommes attirés par les gens heureux et que les gens heureux nous imprègnent par leur joie:) une étude anglaise vient d'établir cette équation compliquée: celle du bonheur :)

    Ce sourire sur votre visage, et ce bonheur dans votre vie, il vous faut peut-être en remercier de parfaits inconnus: car le bonheur est contagieux, et plus vous êtes entourés de gens heureux, même à votre insu, plus vous l'êtes vous-même, selon une étude publiée vendredi dans le très sérieux "British Medical Journal".

    Des chercheurs américains ont suivi plus de 4.700 habitants de Framingham, Massachusetts, dans le cadre d'une étude menée de 1983 à 2003. Et à la lecture des résultats sur les tendances au bonheur, les scientifiques ont découvert que non seulement les gens heureux transmettent leur joie à des gens qu'ils ne connaissent pas personnellement, mais que cette 'contamination' peut durer une année.

    "Le bonheur, c'est comme une onde de choc", a déclaré le Pr Nicholas Christakis, professeur en sociologie de l'Université de Harvard, un des auteurs de l'étude. "Etre heureux ne dépend pas juste de vos propres actions, comportements et pensées, mais de ceux et celles de personnes que vous ne connaissez même pas".

    Christakis et James Fowler, professeur associé de science politique, de l'Université de San Diego (Californie), avaient déjà démontré que l'obésité et la consommation de cigarettes se propageaient socialement de cette manière.

    Pour cette étude, ils ont étudié des questionnaires demandant aux gens d'évaluer leur bonheur et ont pu repérer un groupe de gens heureux et un autre groupe de gens malheureux plus distincts l'un de l'autre que ce à quoi ils se seraient attendus s'il ne s'était agi que du simple hasard.

    Le bonheur se propage sur trois cycles, jusqu'aux amis des amis des amis.

    Les gens heureux avaient tendance à se trouver au centre de réseaux sociaux et avaient de nombreux amis qui étaient, eux aussi, heureux. Avoir des amis ou des parents qui habitent à côté augmentaient les chances d'être joyeux. Les conjoints heureux représentent aussi un facteur positif, mais pas autant que les amis de même sexe. En revanche, aucun effet n'a pu être observé avec les collègues de travail.

    Christakis et Fowler estiment que chaque ami heureux augmente de 9% votre probabilité d'être heureux. Avoir des amis grognons la diminue de 7%.

    Etre heureux a d'autres avantages: "Le bonheur a un effet protecteur sur votre système immunitaire et sur le fait que vous fabriquez moins d'hormones du stress", a déclaré Andrew Steptoe, professeur de psychologie à l'University College de Londres, qui est extérieur à l'étude.

    Mais pour d'autres experts, les gens ne devraient pas partir du principe qu'il suffit d'avoir les bons amis pour être heureux: "La santé psychologique de vos amis est un indicateur de votre propre santé mentale, mais dire que vous pouvez décider de qui sont vos amis pour devenir plus heureux serait aller trop loin", estime Stanley Wasserman, statisticien Université de l'Indiana, qui étudie les réseaux sociaux.

    L'étude ayant été menée dans une seule communauté, d'autres recherches sont nécessaires pour confirmer ces résultats. L'étude a par ailleurs été conduite avant la flambée des sites de réseaux sociaux en ligne, notamment Facebook et MySpace.

    "Ces technologies améliorent les contacts amicaux. Elles pourraient donc favoriser la forme de contagion émotionnelle que nous observons", a déclaré Christakis. Bien qu'il ne puisse pas dire si être sur Facebook rendrait plus heureux.

    Pour Fowler en tous cas, cette étude est la première tentative d'analyse du karma: "Le fait que le bonheur se propage de personne en personne laisse penser que notre propre rayonnement puisse au final nous revenir". AP

  • La masturbation atténuerait les risques de cancers

    Selon des études récentes, la masturbation régulière chez l'homme atténuerait les risques d'avoir le cancer de la prostate

    En effet, une équipe de recherche australienne a prouvé que les hommes ayant éjaculé le plus entre 20 et 50 ans ont plus de chances de ne pas attraper le cancer. Mieux encore, les hommes ayant éjaculé au moins 5 fois par semaine divisent les risques par trois du cancer de la prostate.

    Le docteur Giles, de l'équipe australienne, a expliqué que le manque d'éjaculations régulières pouvait faire que les substances cancérigènes s'accumulent dans l'organisme.

    Une connexion semblable entre le cancer du sein et le fait d'allaiter aurait également été trouvé.

     à méditer;)