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Adibs1 - Page 55

  • CONCOURS DE SALSA LATINA CAFE (1)

    Voici en exclusivité les premiéres photos et vidéos du concours de Salsa Latina café 2008 du 18 avril.
    je Commence par une petite sélection du concours débutant remporté par andrew et sarrah dont je salue la performance418656298.jpg
    Andrew et Sarrah
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    Zied et sa femme
    ils étaient 3 à danser;)
    > la mauvaise qualité des vidéos est due à la compression en vue de mettre en ligne.

  • La fécondité est en baisse chez la femme

     

    Les femmes retardent l'âge de leur première grossesse et la fertilité masculine se détériore: deux facteurs qui risquent fort de se traduire par des difficultés croissantes pour concevoir un bébé et une demande accrue de procréation assistée, selon les scientifiques.

    Ces deux évolutions constatées ces dernières années risquent d'accroître fortement la demande d'assistance médicale à la procréation (fécondation in vitro, insémination...), mettent en garde des chercheurs français.

    Les démographes constatent que l'âge auquel les femmes souhaitent leur premier enfant ne cesse d'augmenter, relèvent Henri Leridon et Rémy Slama (Inserm - Epidémiologie, démographie et sciences sociales). Il a gagné entre 2 et 4 ans dans de nombreux pays ces 20 à 30 dernières années.

    L'âge moyen de la maternité se rapproche en France des 30 ans (29,8 ans) et on observe un pic de progression de naissances parmi les mères de 35 ans ou plus (21,1% de l'ensemble des naissances).

    Par ailleurs, les épidémiologistes constatent dans les pays développés une détérioration de la fertilité masculine, souvent attribuée à des facteurs environnementaux (pesticides, polluants...).

    La concentration du sperme en spermatozoïdes a diminué de près de la moitié en cinquante ans.

    Une précédente étude montre que le déclin progressif de la qualité du sperme sur une période de 45 ans pourrait diminuer de 15% la "fécondabilité" des couples (la probabilité mensuelle de conception pour un couple qui tente d'avoir un enfant).

    Les Dr Leridon et Slama ont cherché à évaluer l'impact de ces évolutions sur la natalité française en modélisant sur ordinateur le comportement reproductif d'une population de 100.000 femmes nées en 1968. Ce modèle a ensuite été soumis à plusieurs "contraintes", avec pour résultat un impact "limité" sur le nombre d'enfants par femme.

    Ainsi, le nombre d'enfants par femme passerait de 2,00 à 1,92 si la fécondabilité diminuait de 15%. Il passerait à 1,77 avec un report de près de six ans de l'âge de la première grossesse (soit un âge moyen à la maternité de 33 ans).

    Mais ces hypothèses entraîneraient surtout des difficultés plus importantes pour procréer et par conséquent un recours accru à l'Assistance médicale à la procréation (AMP). La baisse de 15% de la fécondabilité entraînerait un bond de 73% de "l'éligibilité" à l'AMP, compte tenu de l'échec des couples à procréer naturellement pendant plusieurs années. Le report des grossesses de six années entraînerait une hausse de près de 80%.

    Plus d'un couple sur 5 serait alors concerné, contre un couple sur 10 aujourd'hui.

    "Ces techniques sont assez peu efficaces chez les demandeurs d'âge avancé. Les couples qui retardent toujours le moment d'avoir un enfant doivent en être avertis", conclut le Dr Leridon.

    La fécondité en France reste proche de deux enfants par femme (1,98 en 2007, 2,00 en 2006). En 2005, les tentatives d'assistance médicale à la procréation ont abouti à la naissance de 19.026 enfants, soit 2,4% des naissances enregistrées par l'Insee

  • La masturbation atténuerait les risques de cancers

    Selon des études récentes, la masturbation régulière chez l'homme atténuerait les risques d'avoir le cancer de la prostate

    En effet, une équipe de recherche australienne a prouvé que les hommes ayant éjaculé le plus entre 20 et 50 ans ont plus de chances de ne pas attraper le cancer. Mieux encore, les hommes ayant éjaculé au moins 5 fois par semaine divisent les risques par trois du cancer de la prostate.

    Le docteur Giles, de l'équipe australienne, a expliqué que le manque d'éjaculations régulières pouvait faire que les substances cancérigènes s'accumulent dans l'organisme.

    Une connexion semblable entre le cancer du sein et le fait d'allaiter aurait également été trouvé.

     à méditer;)

  • Duffy - Mercy

    La révélation qui monte!

     I love you
    But I gotta stay true
    My moral’s got me on my knees
    I’m begging please
    Stop playing games

    I don’t know what this is
    But you got me good
    Just like you knew you would
    I don’t know what you do
    But you do it well
    I’m under your spell

    You got me begging you for mercy
    Why won’t you release me ?
    You got me begging you for mercy
    Why won’t you release me ?
    I said you better release me

    Now you think that I
    Will be some thing on the side
    But you got to understand
    That I need a man
    Who can take my hand, yes I do

    I don’t know what this is
    But you got me good
    Just like you knew you would
    I don’t know what you do
    But you do it well
    I’m under your spell

    You got me begging you for mercy
    Why won’t you release me ?
    You got me begging you for mercy
    Why won’t you release me ?
    I said you better release me

    I’m begging you for mercy
    Just why won’t you release me
    I’m begging you for mercy
    You got me begging
    You got me begging
    You got me begging

    Mercy
    Why won’t you release me ?
    I’m begging you for mercy
    Why wont you release me ?
    You got me begging you for mercy
    I’m begging you for mercy
    I’m begging you for mercy
    I’m begging you for mercy
    I’m begging you for mercy
    Why won’t you release me
    Bring it on

    Mercy
    Begging you for mercy
    You got me begging
    Down on my knees
    I said mercy
    Begging you for mercy
    You got me begging

     

  • Une mystérieuse maladie dans des abattoirs américains

    L'inquiétude gagne les médecins américains, après qu'au moins 13 cas d'une mystérieuse maladie aient été diagnostiqués chez les salariés d'abattoirs spécialisés dans la viande de porc. Dans tous les cas les patients ont fait état de fatigue chronique, ainsi que de douleurs dans les bras et les jambes. Tous ont présenté une atteinte inflammatoire de la moelle épinière, semble-t-il auto-immune.

    Le Dr Daniel Lachance de la Mayo Clinic à Rochester, a suivi le phénomène depuis le tout premier cas, enregistré en décembre 2006 dans un abattoir d'Austin (Minnesota). Depuis lors, 12 autres cas ont été rapportés dans cette même société, qui emploie 1 300 personnes. Sans en préciser le nombre, Lachance cite ainsi des cas qui seraient survenus dans le Nebraska et l'Indiana.

    Il y aurait là selon lui, une « nouvelle maladie neurologique » assimilable à une « neuropathie inflammatoire progressive ». Les symptômes sont divers : fatigue, douleurs, picotements et engourdissements dans les bras et les jambes…

    Une réponse du système immunitaire

    « Les examens ont également montré que ces patients présentaient à la fois une inflammation de la moelle épinière et une réaction immunitaire. Celle-ci se manifestait par la production d'un anticorps que nous n'avions jamais rencontré auparavant », a-t-il précisé lors de la Soixantième réunion annuelle de l'American Academy of Neurology à Chicago. « Ce nouveau syndrome serait lié à une réponse du système immunitaire à quelque chose qui se trouve dans l'environnement des travailleurs ».

    D'après le New York Times, les pistes s'orienteraient vers l'atelier de découpe de la tête des animaux. Celui-là même où l'on extrait également leur cerveau. Cité par le quotidien américain, le Dr Aaron De Vries, vétérinaire aux Centers For Disease Control and Prevention (CDC) se montre légèrement rassurant : « Aucune ressemblance n'est constatée avec la maladie la vache folle ou la trichinose. La maladie ne se transmet pas non plus de personne à personne, et elle n'affecte pas les consommateurs de porc ». En revanche, comme le souligne sa collègue Jennifer McQuiston, « nous ignorons évidemment le nombre de personnes susceptibles d'être concernées aux Etats-Unis et dans les autres pays ».

    Source : Soixantième réunion annuelle de l'American Academy of Neurology, Chicago, 12-19 avril 2008 - New York Times, 5 février 2008