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kidnapping

  • Un Autrichien accusé d'avoir enfermé et abusé 24 ans de sa fille

     

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    Le monde part en coui....

    Une histoire digne du livre des horreur...les scénaristes vont s'entretuer pour les droits d'auteurs!

    AMSTETTEN, Autriche (Reuters) - La police autrichienne a arrêté un homme soupçonné d'avoir séquestré sa fille dans une cave pendant 24 ans et d'avoir eu avec elle des relations incestueuses dont sont nés sept enfants.
    La police, qui poursuit son enquête, a identifié la femme sous le nom d'Elisabeth F., 42 ans. En 1984, il l'a attirée dans la cave d'un immeuble d'habitation où vivait la famille, à Amstetten, et l'a enfermée dans une pièce sans fenêtre après l'avoir droguée et menottée, a-t-elle dit.

    Trois de ses enfants ont vécu enfermés toute leur vie dans la cave du bâtiment avec leur mère. Ils n'ont jamais vu la lumière du jour ni reçu d'éducation, a indiqué la police.

    Les autorités d'Amstetten, à 130km à l'ouest de Vienne, tentent encore de comprendre ce qui s'est passé. L'affaire rappelle le cas d'une autre Autrichienne, Natascha Kampusch, qui a passé huit ans enfermée dans une cellule sans fenêtre avant de s'évader, en août 2006.

    "Nous sommes confrontés à un crime incompréhensible", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Günther Platter, à la télévision autrichienne. "Tout ce qui s'est produit ici dépasse l'imagination."

    INTROSPECTION

    La presse autrichienne se demande lundi comment le voisinage a pu ne pas se rendre compte de ce qui se passait dans la cave de ce bâtiment. "Il ne sera pas possible de revenir à une vie normale après cela", écrit le quotidien Der Standard dans un éditorial. "Tout le pays doit vraiment se demander qu'est-ce qui ne va pas."

    Josef, électricien de formation aujourd'hui âgé de 73 ans, a montré aux enquêteurs comment accéder au sous-sol dans lequel il séquestrait sa fille.

    "Il y avait une étagère couverte de boîtes et de bidons, et derrière cette étagère se trouvait une porte en béton armé, protégée par un code électronique et coulissant sur des rails en acier. Seul le suspect connaissait le code", a indiqué un responsable local, Heinz Lenze.

    Le sous-sol comprend plusieurs pièces et dispose de lits, de quoi y préparer à manger et laver du linge, a précisé Franz Polzer, chef de la cellule d'enquête criminelle chargée de l'affaire, à la chaîne ORF.

    Les autorités continuaient lundi matin à fouiller le sous-sol, rapporte l'agence de presse autrichienne APA, ajoutant que certaines des pièces ne faisaient que 1,70m de hauteur.

    Citant Lenze, APA écrit en outre que la police enquête sur une "cellule insonorisée" trouvée dans la cave.

    L'épouse de Josef, Rosemarie, n'était pas au courant de ce qui se passait. A l'époque, les parents ont reçu une lettre d'elle disant qu'il ne fallait pas la rechercher, ce qui a donné à penser qu'elle avait disparu volontairement.

    DOSSIER MÉDICAL

    Elisabeth a donné le jour à sept enfants, dont un est mort peu après sa naissance, selon la police. Trois des enfants, les plus jeunes, ont été abandonnés avec une lettre expliquant que leur mère ne pouvait s'en occuper. Tous ont été recueillis par Josef et son épouse comme enfants adoptifs.

    Les deux aînés, âgés de 18 et 19 ans, ainsi que le plus jeune, âgé de cinq ans, étaient enfermés avec leur mère depuis leur naissance.

    L'affaire a éclaté lorsque l'aînée est tombée gravement malade et a été hospitalisée à Amstetten.

    "Une jeune fille de 19 ans a été déposée le week-end dernier à l'hôpital de Amstetten. Elle est gravement malade et lutte contre la mort", a dit un porte-parole de la police.

    Les médecins ont lancé un appel à la mère - qu'ils croyaient alors disparue - pour qu'elle leur apporte des précisions sur le dossier médical de sa fille.

    Josef a alors sorti de sa cachette Elisabeth et les deux autres enfants vivant avec elle en expliquant à son épouse que leur fille "disparue" avait choisi de revenir à la maison.

    "Il ne s'agit pas ici d'une mère abandonnant son enfant, qui a dû ensuite être hospitalisé dans un état grave (...). Nous savons qu'elle a elle-même été séquestrée par son propre père pendant 24 ans dans le sous-sol et, de plus, elle a de toute évidence aussi été victime d'agressions sexuelles", a dit Polzer.

    Après avoir obtenu l'assurance qu'elle n'aurait plus de contacts avec son père - qui, a-t-elle dit, a commencé à la violer à l'âge de 11 ans - Elisabeth a accepté de faire une "déposition complète", a ajouté la police.

    Rosemarie, Elisabeth et les enfants bénéficient d'un soutien psychologique. Des prélèvements ADN de toutes les personnes concernées ont été effectués et seront analysés.

  • Les membres de l'Arche de Zoé graciés par le président tchadien

    La honte!

    La france a acheter la liberté de ses gens grace à son soutien militaire pour le gouvernement tchadien. suite à cette grace presidentielle ses ravisseurs d'enfants(pas encore prouvé) vont être libre! que serait'il arrivé si les ravisseurs étaient des tchadiens noirs et les victimes des enfants français blancs?

    combien d'enfants ont été kidnappés par ce genre de pseudo organisations humanitaires pour alimenter les reseaux mafieux de pedophilie et d'esclavagisme moderne? combiens de fois les gouvernements pourris ont couvert ce genre de crimes?

    biensur reste à connaitre la vérité!

    N'DJAMENA (AFP) - Les six Français de l'Arche de Zoé ont été grâciés lundi par le président tchadien, trois mois après leur condamnation pour avoir tenté d'exfiltrer 103 enfants vers la France, et seront libérés "dans les heures qui viennent" même s'ils restent visés par une information judiciaire à Paris.

    Dominique Aubry, sapeur-pompier de 30 ans, était employé comme logisticien bénévole de l'association Arche de Zoé à Abéché (Tchad). Il avait expliqué pendant le procès au Tchad que son travail "était de nourrir les enfants et de les habiller".

    "Il est accordé une grâce présidentielle au six Français membres de L'Arche de Zoé", selon un décret du président tchadien Idriss Deby Itno, qui cite nommément le meneur de l'association française Eric Breteau, sa compagne et assistante Emilie Lelouch, le médecin Philippe van Winkelberg, l'infirmière Nadia Merimi et les logisticiens Alain Péligat et Dominique Aubry.

    La grâce concerne aussi l'intermédiaire tchadien Mahamat Dagot, condamné à quatre ans de prison pour "complicité", mais pas l'autre intermédiaire condamné à cette même peine, le Soudanais Souleïmane Ibrahim Adam, qui n'aurait pas formulé de demande de grâce.

    Condamnés le 26 décembre 2007 par la Cour criminelle de N'Djamena à huit ans de travaux forcés pour "tentative d'enlèvement d'enfants", les six membres de l'association ont été transférés deux jours plus tard en France pour y purger leur peine commuée en huit ans de prison ferme par un tribunal.

    Après le feu vert donné par le président Deby, qui a échappé, grâce au soutien militaire apporté par la France, à une attaque rebelle menée les 2 et 3 février,

    Les proches et avocats des six condamnés ont tous salué cette mesure de grâce, l'avocat de Breteau et Lelouch, Me Gilbert Collard, soulignant qu'ils allaient "mettre à profit" leur liberté "pour faire entendre (leur) vérité".

    L'avocat de Nadia Merimi, Me Mario Stasi, s'est "réjoui de cette mesure", regrettant toutefois qu'elle "arrive peut-être un peu tard".

    Ces avocats avaient fait appel du jugement du tribunal de Créteil près de Paris, convertissant la peine tchadienne dans le droit français.

    La grâce "n'est qu'une dispense d'exécution de peine" mais n'annule en rien cette peine qui, en cas de désistement de l'appel, restera inscrite au casier judiciaire des six membres de l'Arche de Zoé, a-t-on indiqué de source judiciaire.

    Les six membres de l'Arche n'en ont par ailleurs pas fini avec la justice française.

    Ils sont mis en cause dans une procédure judiciaire française pour "exercice illégal de l'activité d'intermédiaire en vue d'adoption", "aide au séjour irrégulier de mineurs étrangers en France" et "escroquerie".

    Quatre d'entre eux, Eric Breteau, Emilie Lelouch, Philippe van Winkelberg, et Alain Péligat ont été inculpés dans ce dossier.

    Nadia Merimi et Dominique Aubry ont été placés sous le statut de témoin assisté (à mi-chemin entre le statu de témoin et celui de mis en examen).

    Aucun des six Français n'a fait l'objet d'un placement en détention provisoire dans le volet français de l'affaire.

    La question des 4,12 milliards de francs CFA (6,3 millions d'euros) que les condamnés doivent toujours verser "solidairement" aux familles des 103 enfants reste également posée. Cette question "n'est pas concernée par la grâce", a insisté le gouvernement tchadien