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archéologie

  • Kélibia et sa banlieue à travers l'histoire par M'hamed hacine fantar

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    Il plait au bureau de kélibia de l’ACAM et à l’association d’animation de la ville de Kélibia de vous inviter à la table ronde qui se tiendra vendredi 14 Aout 2009 à 19h au complexe culturel Raouf Gara, autour de la conférence du professeur M’hammed Hacine Fantar, Responsable de la chaire ben ali pour le dialogue des civilisations, sur le thème « Kélibia et sa banlieue à travers l’histoire »
    La rencontre sera rehaussée de la présence du professeur Abderrahman Tenkoul, Doyen de la faculté des lettres et sciences humaines de Fès (Maroc)

  • Une nécropole vieille de 4.500 ans découverte en Syrie

    Le site de Qatna, le 2 décembre 2008 à l'ouest ...

    Encore une découverte archéologique de taille en Syrie, une découverte qui remonte à 3000 ans avant notre ére.voici la dépeche AFP

    Une équipe d'archéologues italo-syrienne a mis au jour cet automne à Qatna, dans le désert syrien à l'ouest de Palmyre, une nécropole de 30 tombes intactes remontant au IIIe millénaire avant notre ère, a annoncé le chef de l'équipe Daniele Morandi Bonacossi à son retour en Italie.

    Cette découverte exceptionnelle par l'ampleur et le bon état de conservation des tumuli funéraires va faire avancer la connaissance d'une des plus anciennes civilisations de l'Antiquité, a déclaré l'archéologue italien à l'AFP.

    "D'autres tombes de la même époque ont déjà été mises au jour, mais pas en aussi grand nombre, et surtout celles-ci sont restées inviolées", a-t-il précisé.

    Les fouilles menées depuis dix ans par son équipe de l'université d'Udine (nord-est de l'Italie), en coopération avec celle de la direction générale des antiquités de Syrie dirigée par Michel al-Maqdissi, ont intéressé un site semi-désertique à une centaine de kilomètres au nord-ouest de la cité antique de Palmyre, sur une ancienne route caravanière reliant la Mésopotamie à la mer Méditerranée.

    Les équipes d'archéologues sont nombreuses à travailler en Syrie, riches en vestiges des civilisations qui s'y sont succédé depuis le néolithique jusqu'à la domination ottomane. Pour des raisons historiques liées au mandat français dans la première moitié du 20e siècle, les Français ont été parmi les premiers à fouiller et restent très présents sur les chantiers.

    Après Palmyre, l'oasis qui connut son apogée au 3e siècle et dont les ruines fascinèrent les voyageurs européens dès le 17e siècle, les chercheurs s'activent maintenant à Qatna, Ugarit ou Ebla, capitales de royaumes opulents ayant vu le jour aux IIIe ou IIe millénaires avant notre ère.

    "Mais c'est la première fois que ce site, entre Palmyre et Qatna, fait l'objet d'une étude systématique", a souligné Daniele Morandi.

    "La nécropole, qu'il faut maintenant explorer, constitue un témoignage de la présence humaine dans cette zone à l'âge de bronze", a-t-il ajouté.

    Son équipe pluridisciplinaire compte à côté d'historiens des spécialistes en cartographie, géophysique, botanique, zoologie, palynologie (étude des pollens), etc. L'objectif est notamment de retracer les changements climatiques survenus dans la région située entre l'Euphrate e la Méditerranée.

    Au cours de la même campagne de l'automne 2008, les archéologues d'Udine ont poursuivi avec leur collègues allemands dirigés par Peter Pfälzner les fouilles du site de Qatna.

    Ils ont dégagé à l'est du palais royal déjà mis au jour par les Allemands un vaste édifice satellite, ainsi qu'une collection d'objets d'une inestimable valeur historique et artistique datant du XIXe siècle avant notre ère: statuettes votives en terre cuite, céramiques, épingles de bronze...

    Une partie de ces objets ont été prêtés au Metropolitan museum of art de New York pour une exposition en cours sur la civilisation babylonienne, avant d'intégrer la collection des musées syriens. Mais il est déjà prévu à travers l'Europe une exposition itinérante exclusivement consacrée à Qatna, a annoncé à l'AFP Daniele Morandi.

  • Egypte: découverte d'une pyramide vieille de 4 300 ans

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    une découverte majeure pour les passionnées des pharaons!

    Les archéologues travaillent sur le site de la nécropole de Saqqara, à une vingtaine de kilomètres près du Caire, depuis deux ans. Il y a deux mois, ils ont découvert un trésor: une pyramide qui aurait été construite il y a environ 4 300 ans. Le directeur des antiquités égyptiennes l'a annoncé ce mardi.

    A l'origine, elle devait mesurer une quinzaine de mètres de hauteur, mais avec les années, elle atteint aujourd'hui 5 mètres. Sa chambre funéraire sera explorée d'ici deux semaines. D'après les archéologues, il semble que la pyramide ait été pillée.

    Cette pyramide avait été construite par la reine Sechséchet, la mère du premier roi de la VIème dynastie de l'Ancien Empire. Le site sur lequel cette pyramide a été découverte abrite la plus ancienne pyramide, construite en 2700 avant Jésus-Christ.

     

  • L'âge de Toumaï - 7 millions d'années - mis en cause par le découvreur

     

     

    Photo non datée du crâne de Toumaï. ...

     

    L'âge de Toumaï (Sahelanthropus tchadensis), qui représenterait la plus ancienne espèce connue d'hominidé avec 7 millions d'années, est remis en question dans un commentaire publié par le découvreur du fossile, Alain Beauvilain, dans le South African Journal of Science.

    En février dernier, le "père" scientifique de Toumaï, le paléontologue Michel Brunet, professeur au Collège de France, fixait dans une étude publiée dans les Annales de l'Académie américaine des sciences (PNAS) à 7 millions d'années l'âge du crâne mis au jour en 2001 à l'ouest de la vallée du Rift, dans le Djourab tchadien. Il confirmait ainsi la première estimation, basée sur la comparaison avec l'âge, connu par ailleurs, des fossiles d'animaux trouvés à proximité.

    Ce chiffre a été obtenu par l'analyse isotopique des sédiments du site de la mise au jour, a déclaré à l'AFP Alain Beauvilain, géographe, qui dirigeait la mission sur le terrain à l'origine de la découverte. Il serait en effet possible d'en déduire l'âge du crâne si celui-ci avait été "pris" dans les sédiments. Or "ce n'était pas le cas", précise-t-il.

    Le Pr Brunet, qui n'était pas sur place au moment de la découverte, a toujours écrit que le crâne était "incrusté" dans les sédiments, qu'il en avait été "extrait", note M. Beauvilain dans son article publié dans le dernier numéro de la revue de l'Académie des Sciences d'Afrique du Sud. Or, explique-t-il, photos prises sur place à l'appui, il reposait sur le sol, "sur une surface constituée de sable meuble sans cesse remaniée par le vent". Il a été tout simplement "ramassé".

    Cela signifie, relève-t-il, qu'il pouvait provenir d'un tout autre endroit avant d'être entraîné jusque-là par l'érosion, notamment celle des vents, comme c'est le cas dans les déserts pour tout objet.

    Cette éventualité, a-t-il expliqué dans son entretien, est confirmée par le fait que le crâne était en grande partie "recouvert d'une gangue bleuâtre". Cela signifie qu'il "avait été fossilisé, recouvert de concrétions et ramené une, sinon plusieurs fois en surface, ce que montre la patine".

    M. Beauvilain remet en cause pour la même raison les conclusions du Pr Brunet concernant un autre fossile célèbre, trouvé au Tchad en 1995, la mandibule d'Abel, alias Australopithecus bahrelghazali, "officiellement" estimé entre 3 et 3,5 millions d'années.

    "Considérant la durée au cours de laquelle ces fossiles peuvent avoir été laissés à découvert, la probabilité qu'ils aient été déplacés (...) par la combinaison de l'érosion et de la déflation éolienne (...) est bien plus forte que celles qu'ils n'aient connu aucun déplacement", écrit-il.

    "Comme les paléontologues expérimentés le savent bien, il peut y avoir une différence considérable entre l'âge du substrat (le sol, ndlr), et celui d'un fossile traînant à sa surface", insiste-t-il.

    "Il faut rappeler les choses telles qu'elles se sont passées", a-t-il dit à l'AFP, en reprenant l'histoire de la découverte telle qu'il l'avait déjà rapportée dans un ouvrage paru en 2003, "Toumaï, l'aventure humaine".

    Le professeur Brunet avait présenté Toumaï en 2002 dans la revue Nature comme étant, à sept millions d'années, le doyen de l'humanité. Pour le dater définitivement, il avait confié à des chercheurs du Centre national français de la recherche scientifique (CNRS) le soin d'estimer l'âge des sédiments desquels le crâne avait été "extrait".

    Ils avaient utilisé pour la première fois le béryllium 10, isotope radioactif du béryllium, et daté Toumaï à 7,04 millions d'années. Cette période est proche de celle où les chimpanzés et les hominidés ont divergé dans l'évolution.

  • Aspice, une des capitales du Cap Bon par Dr Mounir Fanter

    A l'occasion des festivités pour le cinquantième anniversaire de la mairie de Kélibia. Une conférence sur l'histoire de notre pittoresque ville s'est Tenue à la mairie.

    Une conférence présentée par le Dr mounir Fanter, historien et archéologue et grand amoureux de l'histoire de notre ville. il a présenté surtout l'histoire antique d'Aspice - kélibia surtout à l'époque punique et romaine.

    Une ville qui était riche et puissante, grand comptoir marchand et importante base militaire qui a contribuer successivement à la grandeur de Carthge et de Rome.

    Dr fanter a aussi présenter les dernières découvertes: la statue en marbre découverte dans la mer face à la marsa ainsi que l'exceptionnelle trouvaille archéologique qui consiste à une synagogue de l'epoque antique qui constitue une découverte majeur dans l'archéologie Tunisienne.

    le maire a decerné une medaille a dr fanter pour son implication dans le rayonnement culturel de la region. 

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