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alphabet de l’heure bleue

  • rencontre avec Aymen Hacen à Art-Libris

    Art-Libris, Librairie & Espace d’arts

     

    vous invite à rencontrer

     

    Aymen HACEN

     

    qui signera son recueil de poésie

     

     

    ALPHABET DE L’HEURE BLEUE

     

    Paru chez Jean-Pierre Huguet éditeur

    (http://www.editionhuguet.com/autartistes/pageauteurs/hacen.html)

     

    Vendredi 10 octobre 2008 à 18h 30

     

    La présentation sera assurée par le poète et universitaire

    Pierre Garrigues

     

    298, av. Bourguiba

    2025 Salammbô – Le Kram (en face du stade du Kram)

    Tél. 71 720 799 ; Courriel : artlibris@topnet.tn

     

     

    « La quête du mot juste qui nous dise et dise le monde à la fois, Aymen Hacen, jeune poète tunisien, l’entreprend dans son recueil intitulé Alphabet de l’heure bleue. Le titre est suggestif et dit combien le mot est d’abord un signe. Son décodage requiert une initiation. Ainsi le recueil suit un ordre, propose autant de poèmes que de lettres dans l’alphabet français, un journal intitulé « Cahier de l’alphabet de l’heure bleue », quelques impressions-réflexions regroupées dans une partie qui a pour titre « la Nuit seule », « Trinité » où nous sont proposés trois poèmes et enfin une postface signée Pierre Garrigues. Le tout est de suivre le jeune poète dans sa quête au discours protéiforme. Alphabet de l’heure bleue relate l’aventure des lettres de l’alphabet épelé dans la nuit. Celle-ci commence par une prière, une incantation : “Que le ciel pose son masque de jour / que cette impénétrable clarté/ s’en aille à vau-l’eau// Vienne la nuit…” […] »

    Yosr Blaïech, La Presse littéraire, lundi 13 février 2007.

     

    « […] Au cœur de sa nuit, orientale ou occidentale, Aymen Hacen scrute une lumière profondément enclose, qui luit au seuil de l’énigme, « la lumière la plus nocturne de l’être ». Un souffle passe entre les vers brefs, les phrases d’un petit journal intime, des fragments consacrés à « la nuit seule ». C’est le souffle même du poète, sa respiration sans doute, mais aussi quelque chose de « soufflé par une instance supérieure ». Oui, il arrive que le veilleur qui a fait « vœu de nuit » soit complètement envahi par une force indicible. Il se penche jusqu’à voir claire­ment la couleur des ténèbres. […] »

    Gérard Bocholier, La Nouvelle Revue Française, n°583, octobre 2007.