En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Tu cliques sur ce lien, attend que la fille soit apparu au complet
- inscrits ton Prénom dans la première ligne en minuscules
- le nom ou le surnom de ton ami que tu veux taquiner dans la deuxième !!!
Tu cliques en bas à gauche sur : **vizualizar. *
elle s'appelle chantal sébir, 52 ans, elle souffre d'esthesioneuroblastome, tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale.
sa vie n'a plus de sens pour elle, soutenue par ces 3 enfants et sa famille elle reclame le droit à l'euthanasie, illégale en france et dans de nombreux pays du monde!
L'opinion publique est dévisée sur son cas!
personnellement, je n'arrive pas à me prononcer, l'euthanasie est un acte frequent en medecine vétérinaire lors de cas incurable ou l'animal souffre enormement, chaque fois que je donne la mort, je souffre, c'est trés penible... j'ai appris à soigner les animaux pas à les tuer... alors que va sentir le medecin qui va lui administrer la dose léthale, comment vivra t'il avec ça sur la conscience?
dans tous les cas je respecte son choix!
pour en savoir plus lisez jacques
Un informaticien marocain, emprisonné pour avoir créé sur le site internet Facebook un profil au nom du frère de Mohamed VI, a été gracié par le roi et libéré, a annoncé mercredi son avocat.
Fouad Mortada, 26 ans, avait été condamné le 23 février à trois ans de prison et 10.000 dirhams (880 euros) d'amende pour avoir falsifié des informations et usurpé l'identité du prince Moulay Rachid sans son consentement.
"La libération de Fouad est une victoire pour la justice et la liberté", a commenté son avocat Ali Ammar. "Le roi a fait ce que le tribunal aurait dû faire en premier".
Mortada s'était défendu en expliquant qu'il a avait créé ce profil par admiration pour le frère du roi, et non pas pour lui nuire. Pour ses défenseurs, la justice marocaine n'a pas compris que des milliers de personnes créent de faux profils de célébrités sur des sites communautaires comme Facebook.
via le point.fr
K Danse organise un
Stage de Tango Argentin
Du Jeudi 01 Mai au Samedi 03 Mai 2008
Avec
NATHALIE CLOUET
« Nathalie, diplômée d’état de professeur de danse contemporaine, artiste, chorégraphe, comédienne,…, est surtout une des figures les plus respectées au niveau de l’enseignement du tango argentin qu’elle pratique depuis 1992. Avec elle, attendez-vous à travailler des choses fondamentales avec ses bases à elle, qui au final, vous feront progresser rapidement. Elle vous fera des exercices dont vous comprendrez l’intérêt plus tard et il faudra lui faire confiance. Avec Nathalie Clouet, un cours est déjà une performance théâtrale. Ne seriez-vous pas « un rien intrigués par sa démarche » ?
Comment ca se passe ?
Il s’agit d’un stage pour les débutants et pour les avancés. Ce que nous proposons : 3 Jours de stage et, en bonus, un grand bal, le jeudi soir, animé par Nathalie.
On apprend quoi ?Nathalie définit le tango comme « une embrassade musicale » avec une règle de base : « suivre la musique ». La méthode présente la danse autour d’exercices de base et de jeux. La spécificité des mouvements de chacun des danseurs du couple est étudiée comme étant deux parts actives de la danse. Ces principes permettent également d’apprendre à mémoriser et à improviser une combinaison. Tout ca sera très ludique.
Tout au long de ces 3 jours de stage, « je souhaite offrir aux élèves, des clefs permettant de laisser jaillir la danse dans un corps structuré. Aider chacun à s’engager, avec les autres, pour devenir libre et créatif grâce à l’acquisition d’une gestuelle fluide ». Nathalie Clouet. Site internet « danseà2 ».
Les débutants : Atelier 1
Jeudi : 14H30 à 16H30
Vendredi : 20H à 21h30
Samedi : 15H30 à 17H
Les avancés : Atelier 2
Jeudi : 17H à 19H
Vendredi : 22H à 23H30
Samedi : 17H30 à 19H
| (en arabe sur-titrés en français) | 14, 15 et 16 mars Horaire : 19h30 |
| Salle : El Teatro | |
| De Gibrane KHALIL GIBRANE « …En athlète du désarroi, Jebali met en cir¬culation la folie avec toutes les formes d’ex¬cès qui font tourner plus vite l’esprit des hommes et des sociétés. On est pris de malaise et parfois même d’asphyxie face à un théâtre qui bascule entre le réel et le virtuel. Une recherche sur le corps, dans cette pièce dansée par quatre jeunes interprètes, à partir de laquelle le metteur en scène traque avec une effrayante lucidité, à travers les images, la vérité et le men¬songe. Il confronte corps réel et corps virtuel jus¬qu’à les confondre. Il y a une mise en distance du corps humain. » | |