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  • Les espions anglais sont recrutés sur facebook

    combien de james bond sont parmi nous? ;)

    Les services du renseignement britanniques ont recours au site internet de socialisation Facebook pour recruter du personnel, a indiqué le Foreign office dimanche.

    Le Secret Intelligence Service (SIS) ou MI6, service du renseignement extérieur, publie des annonces depuis quelques semaines sur le site Facebook dans le cadre de sa campagne de recrutement.

    "La campagne ouverte de recrutement du Secret Intelligence Service continue pour cibler des réservoirs de talents qui représentent la société britannique d'aujourd'hui", a expliqué une porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

    "Plusieurs canaux sont utilisés pour présenter les possibilités professionnelles dans l'organisation. Facebook est l'un des derniers exemples", a-t-elle poursuivi.

    Le MI6 a commencé en avril 2006 à recruter de façon ouverte en utilisant des campagnes de promotion à la radio ou dans les journaux.

    Le service recrute aussi via son site web où l'on peut remplir en ligne un formulaire de candidature.

  • Programme de la 26ème Edition du Festival de la Médina

    Date

    Lieu

    Spectacle

    Pays

    Samedi 6 septembre

    Palais Khereddine

    Soirée d'ouverture: La Rachidia sous la direction de Zied Gharsa

    Tunisie

     

    Club Tahar Hadad

    Thomas Rosenkrantz

    USA

    Dimanche 7 septembre

    Dar Lasram

    Sombatiet

     

     

    Zawiet Sidi Ibrahim

    Soirée de chants liturgiques

    Tunisie

    Lundi 8 septembre

    Dar Lasram

    Soirée du Oud Béchir Ghariani

    Tunisie

     

    Club Tahar Hadad

    Zied Cherif

    Tunisie

    Mardi 9 septembre

    Dar Lasram

    Tendances Imparfaites, Mohamed Ali Kammoun

    Tunisie

     

    Club Tahar Hadad

    Dialogues musicaux iteb Jlaili

    Tunisie

    Mercredi 10 septembre

    Dar Lasram

    "Nahaouend" Zohra Madani (Oud)

    Tunisie

     

    Dar Housein

    Résonances Kais Rostom

    Tunisie

     

    Palais khereddine

    Soirée "Tarab" Safouet Sabri

    Syrie

    Jeudi 11 septembre

    Palais Khereddine

    Hommage à Ismahan Dorsaf Hamdani

    Tunisie

    Vendredi 12 septembre

    Dar Lasram

    Hommage à Mahmoud Darouich, Ajrass

    Tunisie

     

    Dar Housein

    Soumaya Mersini

    Tunisie

    Samedi 13 septembre

    Dar Housein

    Nichat Khan

     

     

    Palais khereddine

    La médina fait son cinéma

     

     

    Palais khereddine

    Abdessattar Amamou

    Tunisie

    Dimanche 14 septembre

    Palais khereddine

    "Tajaliette" Khaled Ben Yahia

    Tunisie

     

    Sidi Kacem Jelisi

    Soulamia

    Tunisie

     

    Place Bab Souika

    "Targ" groupe "Ifriga" Brahim Bahloul

     

    Lundi 15 septembre

    Dar Housein

    "Senteurs de Jasmin" Nessrine Ben Moussa et Sofiène Nagra

     

    Mardi 16 septembre

    Dar Lasram

    "Sehr Al Aoutar" Samih Mahjoubi

    Tunisie

     

    Bibliothèeque de la vilel de Tunis

    Soulamia

    Tunisie

     

    Club Tahar Hadad

    Hommage à Youssef Chahine

     

     

    Dar Housein

    Derwichs tourneurs de Konia

    Turquie

    Mercredi 17 septembre

    Dar Lasram

    Variations sur des mélodies de Damas, Hussein Sabsabi

    Syrie

     

    Zawiet Sidi Mehrez

    Soulamia Naceur Abdelli

    Tunisie

     

    Palais khereddine

    Hanin Y Son Cubano

    Liban

     

    Dar Housein

    Choro-Livra

    Brésil

    Jeudi 18 septembre

    Dar Lasram

    Quator Archi

     

     

    Palais Khereddine

    Zine Haddad

     

     

    Club Tahar Hadad

    Soirée d'Opéra

     

    Vendredi 19 septembre

    Dar Housein

    Alma de Coimbre

    Portugal

     

    Club Tahar Hadad

    Soirée d'Opéra

     

     

    Palais Khereddine

    Troupe "Mezghena" Musique andalouse

    Algérie

    Samedi 20 septembre

    Dar Housein

    Troupe "Mezghena" Musique andalouse

    Algérie

     

    Palais khereddine

    Abdessattar Amamou

    Tunisie

     

    Théâtre Municipal

    Marina Conti

    France

    Dimanche 21 septembre

    Palais Khereddine

    Troupe Kenan Bacha

    Syrie

     

    Dar Housein

    Troupe Italienne "Onda Mediterranea"

    Italie

    Lundi 22 septembre

    Dar Housein

    Troupe Abdelkader Hihi

     

     

    Dar Lasram

    Concert musical

     

    Mardi 23 septembre

    Palais Khereddine

    Hommage à Saliha, Zohra Lajnef, "Freg Ghazali"

     

     

    Dar Lasram

    Groupe Maquamet de la Musique Arabe

     

    Mercredi 24 septembre

    Dar Housein

    El Quinto Parpadeo

    Espagne

     

    Dar Lasram

    Oiseaux de Paradis Khaled Slama

    Tunisie

     

    Palais Khereddine

    Théâtre "Et maintenant..."

     

    Jeudi 25 septembre

    Palais khereddine

    Yasmine Azzaiez

    Tunisie

     

    Théâtre Municipal

    Théâtre "Poids Plume"

     

    Vendredi 26 septembre

    Palais Khereddine

    Théâtre "Café Amer"

     

     

    Dar Housein

    Musique Kurde, Mohamed Adnan et ahmed Yaahazadek

     

     

    Sidi Ben Arous

    Issaouia

    Tunisie

    Samedi 27 septembre

    Palais Khereddine

    Lotfi Bouchnak

    Tunisie

     

    Club Tahar Hadad

    Abdessattar Amamou

    Tunisie

    Dimanche 28 septembre

    Théâtre Municipal

    Amina Fakhet

    Tunisie

    Lundi 29 septembre

    Théâtre Municipal

    Amina Fakhet

    Tunisie

  • Raouf Gara expose à club Tahar el Haddad - la médina de Tunis

    L'espace du club Tahar Haddad abrite l'exposition de l'artiste peintre Raouf Gara " mémoire des sables". un évènement artistique d'envergure ou Raouf présente ses dernières créations. ses sculptures nous invite à un voyage a travers le temps, l'histoire et la mer nostrum. des sculptures qui se fusionnent avec les murs sablés de l'ex écurie de Dar Lasrem. une exposition envoutante.
    Exposition du 5 au 23 septembre 2008
    voici un petit reportage photos







    par adibs1

  • Plaidoyer pour Mahmoud Darwich

    A. H. par Vincent Mayes.jpg
    Photo d'Aymen par Vincent Mayes

    Editorial par mon ami Aymen Hacen, "Editorial publié samedi 6 septembre 2008 dans Les Lettres françaises, le supplément littéraire du journal L'Humanité."

     

    J’étais à plusieurs milliers de kilomètres de lui quand il est décédé sur son lit d’hôpital à Houston, aux États-Unis. Mahmoud Darwich est mort au matin du 9 août, heure locale de Houston, et l’après-midi du même jour, heure locale des rivages méditerranéens qui l’ont vu naître. Pourtant il s’agit du même homme et de la même mort. Cette mort qui est la sienne, peut-être pas celle qu’il a choisie, mais celle dont il a rêvé. Il est mort un samedi comme il l’a prédit dans Un bref congé, un des poèmes de son dernier livre Effet papillon (1).

    « J’ai cru que je suis mort un samedi

    j’ai dit : je dois émettre une dernière volonté

    mais je n’ai rien trouvé à émettre…

    et j’ai dit : je dois inviter un ami

    pour lui annoncer que je suis mort

    mais je n’ai trouvé personne…

    et j’ai dit : je dois aller dans mon tombeau pour l’occuper

    mais je n’ai pas trouvé le chemin

    et mon tombeau est resté vide de moi (…) »

    Terrible prémonition, certes, mais ce qui a été encore plus terrible pour moi, c’est d’avoir appris la mort de Mahmoud Darwich en début de soirée, au sortir de la sieste, par un courrier électronique du poète israélien Yitzhak Laor, qui a adressé un message collectif à tous les participants du Festival des voix de la Méditerranée de Lodève (tenu du 19 au 28 juillet dernier), pour exprimer son extrême affliction. Oui, malgré mon étourdissement, les vers précédents me sont tout de suite venus à l’esprit, et ceux-là, plus terribles encore, où il est question des massacres de Sabra et de Chatila et dans lesquels Darwich personnifie Sabra afin de la donner en pâture à son bourreau, le Phalangiste épaulé par le Sioniste qui ont le même nom, Fasciste :

    « Et le Fasciste poursuit sa danse et rit aux yeux ivres

    et de joie il perd la raison, et Sabra n’est plus un corps :

    il la recompose comme le souhaitent ses désirs,

    et sa volonté la refait

    et il ravit une bague de sa chair, quitte son sang pour son

    Talmud :

    ce sera : mer

    ce sera : terre

    ce sera : nuées

    ce sera : sang

    ce sera : nuit

    ce sera : assassinat

    ce sera : samedi

    ce sera Sabra

    Sabra : croisement de deux rues sur corps

    Sabra : révélation de l’Esprit dans une pierre

    Sabra plus personne

    Sabra identité de notre ère à tout jamais… »

    Indécente est la suite de ce que j’ai vécu ce soir-là et il serait incongru de la raconter en ce lieu. Au récit, je préfère dès lors le discours qui me semble être aujourd’hui le seul capable de répondre aux besoins de la cause. Celle défendue par le poète lui-même : « Quand les martyrs partent se coucher, je me lève et les garde des amateurs des élégies (2). » En effet, on ne tarissait pas d’éloges à l’égard de Darwich vivant, on ne va pas après sa mort, pour ainsi dire, ne pas non plus tarir d’élégies. J’espère pour ma part qu’il sera plus lu après sa mort que de son vivant, car je suis sûr que tous les flagorneurs qui se targuent de le traduire, ceux qui le citent sans cesse et qui écrivent même sur lui, ne l’ont pas lu, du moins pas en entier - de a à z ou de alif à yâ.

    Ainsi, à la lecture du dernier livre de Darwich, au moment de sa parution en janvier, je n’y avais pas prêté attention, mais aujourd’hui je comprends la signification de cet « effet papillon », que j’avais commencé par confondre avec « trace de papillon ». En physique, « effet papillon », d’après le Petit Larousse (le Petit Robert l’ayant passé sous silence), est une « image proposée par E. N. Lorenz pour appréhender les phénomènes physiques liés au chaos et selon laquelle une petite perturbation dans un système peut avoir des conséquences considérables et imprévisibles. (Par exemple, dans l’atmosphère, le souffle dû au battement d’une aile de papillon pourrait déclencher une tempête à des milliers de kilomètres de là.) » - Aussi faut-il emprunter ce long, dur et sinueux chemin pour entrer dans cette poésie que d’aucuns tendent à réduire à des slogans et à des credo obsolètes. Ceux-là et leurs credo et leurs slogans sont obsolètes, mais ni la Palestine ni son porte-voix ne le sont. Eux ont la chance - celle qui se mérite parce qu’elle s’« impose »(3) - de se renouveler, non seulement en s’adaptant à leur temps mais encore en courant le « risque » de devancer leur temps et d’en être les précurseurs. Riche, féconde et plurielle est la Palestine et elle a eu le poète qu’elle mérite, car celui qui a dit : « Et la terre se transmet comme la langue » (4), ne s’est pas contenté de la langue qui lui a été transmise par sa mère. Lui, qui a été dépossédé de sa terre, a conquis sa langue afin de reconquérir sa terre et celle de son peuple. Et Darwich a réussi plus que tout autre poète palestinien et arabe ce difficile équilibre entre la poésie et la politique, ce qui lui a permis d’être reconnu et célébré partout comme un poète authentique, à l’instar de quelques-uns de ses propres pairs - Maïakovski, Ristos, Char, Celan et Walcott pour ne citer que ceux-là - qui ont réussi, eux aussi, à faire pencher la balance du côté de la poésie, sans pour autant abandonner la cause que chacun d’entre eux a fait sienne.

    D’où ce magnifique témoignage du grand poète Philippe Jaccottet : « Je souffre pour un peuple humilié. La voix de son grand poète Mahmoud Darwich me touche profondément. Puis, à la fin d’un défilé parisien pour la Palestine, quand des extrémistes déploient une banderole souillée par l’ignoble inscription "Mort aux juifs", je bute, une fois de plus, sur l’inextricable. » (5) - Ces paroles me touchent au plus vif de mon être parce qu’elles font d’une pierre trois coups : d’abord, elles reconnaissent une voix, celle de Mahmoud Darwich, qui porte celle de tout un peuple ; ensuite, elles appellent à la modération, au dialogue toujours possible malgré les fanatismes qui triomphent de part et d’autre ; enfin, elles témoignent de la nécessité de la poésie, de l’importance des poètes et du rôle que la poésie et les poètes peuvent jouer ensemble dans le démêlement de « l’inextricable ».

    Il me semble là que nous mettons le doigt sur ce je-ne-sais-quoi sur lequel repose le génie poétique de Darwich qui, en évoquant le café de sa mère, ou en parlant de son passeport, ou encore en relatant la misère quotidienne sous un état de siège, impose son rythme personnel aux mots, aux choses et au monde. Si certains ramènent cela à la rigueur ou au travail poétique, je m’obstine à mettre cela sur le compte de la présence d’esprit, de l’extrême sensibilité, en un mot de la lucidité, car la juste colère, la vraie poésie et l’enthousiasme authentique n’aveuglent pas, ils éveillent. Nommer n’est pas tuer. Nommer, c’est éveiller l’esprit qui réside en toute chose. Nommer, c’est éveiller, comme Darwich a su le dire, dans son tout dernier poème, intitulé le Joueur de dés, dit à voix haute à Ramallah début juillet, un mois avant son départ :

    « Ainsi naissent les paroles : j’entraîne mon coeur

    Qu’il puisse contenir les roses et les épines…

    Mystiques sont mes vocables et sensuels mes désirs. » (6)

    Poète, merci donc pour l’Éveil.

    (2) In Wardon akal (Moins de roses), in OEuvres complètes, tome 2, Beyrouth, Dar al-Awda, 1994, p. 342.

    (2) Mahmoud Darwich, Atharou al faracha (l’Effet du

    papillon), Beyrouth, Riyad El-Rayyes Books, 2008, p. 181-182.

    (3) Rappelons-nous cet aphorisme de René Char qui était

    l’un des poètes préférés de Darwich : « Impose ta chance,

    serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder,

    ils s’habitueront. », in Rougeur des matinaux, § III,

    OEuvres complètes, Paris, Pléiade, 1983, p. 329.

    Notons l’italique de l’auteur.

    (4) Mahmoud Darwich, Tragédie des narcisses,

    comédie de l’argent, in Je vois ce que je veux (1990),

    OEuvres complètes, op. cit., p. 422.

    (5) Philippe Jaccottet, Israël, cahier bleu,

    Fontfroide le Haut, Fata Morgana, 2004, p. 82.

    (6) Mahmoud Darwich, le Joueur de dés,

    in Al Quds Al Arabi, mercredi 2 juillet 2008, p. 10.

    Aymen Hacen (Poète tunisien)

  • Google Chrome le nouveau navigateur internet est disponible

     

    Je viens de télécharger le nouveau navigateur internet Google chrome, je crois qu'un géant vient de naitre;) microsoft et mozilla doivent bien s'accrocher pour ne pas perdre du terrain.

    il est téléchargeable en version Béta depuis hier, je viens de le tester et à vrai dire il est assez rapide. j'ai téléxharher mon blog simultanément sur les 3 navigateurs et c'est chrome qui remporte la course.

    bon je ne peux pas m'avancer plus, il faut le tester encore et découvrir ses fonctionnalités dont une va beaucoup nous interresser nous les tunisiens;) c'est une navigation en mode invisible;) je n'ai pas encore tester ce mode donc je ne peux rien vous dire.

    Chrome, le nouveau rival de Firefox, Internet Explorer et autre Opera signé Google est en ligne depuis le mardi 2 septembre 2008 au soir. La version bêta (0.2.149.27) du logiciel open source peut être téléchargée sur les serveurs du moteur de recherche google.

    Le logiciel, disponible dans de nombreuses langues dont le français et qui pèse 7 Mo, n'est pour le moment disponible que pour les ordinateurs sous Windows XP ou Vista. Google indique que des versions Linux et Mac sortiront à terme, mais sans donner de précision

     Voici deux tests de rapidité du navigateur chrome qui se base sur la technologie V8